Je suis plutôt d'avis que gremlins est une remise en question de "l'américan way of life" en temps que tel. En effet le pitch de base est une famille américaine tous ce qu'il y a de plus banal dans un village tous ce qu'il y a de plus banal. Dans leurs amour procédurier de l'ordre et du travail ces braves avait oublier une chose essentielle que de petits hommes vert vont leurs rappeler. Le rire, le gras, le sallace. Toutes les déviances condamné par les charmantes têtes blonde peinturlurer qui finissent star du porno vont être exulté en un moment de communion amérique/ gremlins puisque enfin ces braves citoyen vont se laisser aller à leur humaines pulsion: colère, amour et mort.
Donc je vois plutôt ce films comme une projection socio-humaniste de l'avenir de la puritaine amérique avec une symbolisation très claire. Le gremlins est la représentation de las vegas (oui je sais je suis parrano ...je sort). il est terrer et personne ne veut l'admettre mais il existe. Quand on le voit il n'est pas qu'illusions et interpelle chacun d'entre nous sur la part de chaos qui nous habite (je rejoindrais mon collègue critique de cinémas sur ce point).
Seulement que ce passe-t-il réellement dans ce schéma narratif élaborer. On crée les gremlins, on voit les gremlins, on tue les gremlins. N'est-ce pas une négation profonde de l'être ? il faut bien évidemment y voir la peur du soi qui ressurgi e. Le gremlins n'est que le symbole de nos plus sombre penchant (d'où le rapprochement américain avec Las Vegas) que nous affrontons quotidiennement jusqu'à explosion. Nous devenons alors incontrôlable se jetant sur n'importe quel bucheronne où buvant du nesquick au milieu de la nuit*.
Dans l'analyse de départ cela reviens dans la pensé de l'auteur/écrivain à montrer du doigt les péchés et les futur aboutissement de la censuré société américaine du début des année 80 qui se verra déchainé dans ses plus grands vice puis de nouveau maitriser par la conscience collective, et accessoirement les hommes, dans une sorte d'image d'inocence desillusionée. Il est fort probable que cet auteur est été un visionnaire quand on se limite au visionnage des films grands public de 1985 (au mois d'avril) et 1987 (mois de septembre).
Calos, qui glande aussi
édit: oups j'avais oublier je paye une bière à celui qui trouve la référence de la phrase avant l'astérisque ^^